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Description
Désir de rendre hommage
à différents personnages,
besoin avec vous de partage.
Dans mon univers, je vous convie.
Les mots se sont réunis
pour vous présenter,
drôle d’idée,
sous forme de poèmes
tout ce que j’aime.
Ma musique intérieure,
Parfaite cacophonie.
Sans aucune ironie.
L’Amour est mon moteur,
l’essence de la vie,
étranges facéties.
Cinquante années et des poussières,
que je suis sur cette terre,
j’ai l’impression d’être arrivée hier.
Vous découvrirez ici et là,
mes peines et mes joies,
ma famille, mes amis,
mes passions, mes envies.
mes espérances,
mes errances.
Comme tout à chacun,
sur le chemin de l’existence,
belles surprises et écueils,
façonnent notre destin.
Pour vous qui m’honorez de votre présence,
voici ce petit recueil.
Sujets
Informations
Publié par | Edilivre |
Date de parution | 26 octobre 2018 |
Nombre de lectures | 0 |
EAN13 | 9782414289141 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
Couverture
Copyright
Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
Tous droits de reproduction, d'adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
ISBN numérique : 978-2-414-28915-8
© Edilivre, 2018
Préface
Car c’est par l’écriture toujours qu’on pénètre le mieux les gens. La parole éblouit et trompe, parce qu’elle est mimée par le visage, parce qu’on la voit sortir des lèvres, et que les lèvres plaisent et que les yeux séduisent. Mais les mots noirs sur le papier blanc, c’est l’âme toute nue.
Guy de Maupassant Notre cœur
Introduction
Sous forme de dessins
croquer des êtres aimés,
tel était au départ mon dessein.
Pour les mots, j’ai au final opté.
Au travers de cette ouvrage,
Vous décrire mon entourage,
traduire mes orages,
exprimer mes passions,
objectif de mon invitation,
nos cœurs à l’unisson.
Vous convier dans mon univers,
ainsi me livrer davantage,
soudaine envie de partage.
Tout près de vous, derrière
chacune de ces pages,
souriante, je vous imagine.
Manière singulière,
de faire connaissance,
jouer avec les rimes,
aligner les vers,
telle une danse,
suivre le rythme,
avec plus ou moins d’aisance.
Modeste compilation,
ici humblement vous exposer
ma musique intérieure.
impérieuse motivation,
celle de vous remercier
me lire vous me faîtes l’honneur.
Phanou
Chemise Ralph Lauren, bermuda et chaussures beige, en cuir
brûlure de cigarette
au niveau de la pochette
sournoisement elle atteste
ton goût pour la fumette.
Look d’aventurier, réel charme d’un dur à cuire,
néanmoins héros fatigué
par l’aventure de la vie,
ton grand cœur meurtri
de battre est lassé.
Je perçois ta détresse,
tout ou presque tu délaisses,
plus rien ne t’intéresse.
Tu portais cette tenue
la dernière fois que je t’ai vu.
Dans le Sud tu es descendu
avec notre père, quelques jours de vacances,
bord de mère, détente, quelle chance.
un adieu était sous entendu.
Je l’ai préssenti
mais n’ai rien dit.
Profitant de ces beaux instants,
il pourrait en être autrement.
Tu as toujours fait preuve d’élégance,
ce qui ne m’étonne
tu étais du signe de la balance,
et un fort bel homme.
Déjà enfant,
tu choisissais tes vêtements,
soucieux de ton apparence.
Epaisse chevelure brossée en arrière,
surplombe tes magnifiques yeux verts.
Belle gueule à la Sean Penn
dents abîmées lors de bagarre,
mauvaises rencontres dans les bars,
ta souffrance, péniblement tu traînes.
Visage boursoufflé,
corps précocement usé,
dans l’alcool, de te réfugier.
Maudit Whisky,
dangereux ami,
tu le considères comme un allié,
certain qu’il va t’aider
à surmonter les difficultés de ta vie.
Violent le combat que tu mènes,
surtout contre toi-même,
tu as si peur que l’on ne t’aime.
Doté d’une intelligence rare,
le cœur sur la main,
ton désarroi, véritable curare,
a brisé ton destin.
Dernier né de notre famille un peu chaotique,
éprouvant a été ton parcours initiatique,
mais rien ne te prédestinait à ce destin tragique.
Besoin inassouvi de réassurance,
désespérément tu as attendu,
au détour de tes errances,
un je t’aime qui n’est jamais venu.
Heureusement, le vrai bonheur tu as connu
quant ta fille, au monde, est venue.
Taquin, curieux, gentil et serviable,
ta présence était unanimement appréciable.
justicier des temps modernes
l’injustice tu ne supportes.
Empathique à l’extrême,
les malheurs de tous tu portes.
Une famille unie
refrain de ton ambition véritable.
Le vers était dans le fruit
en rien tu n’étais responsable
jusqu’à la fin tu t’es senti coupable.
L’année de tes quarante-deux ans
tu nous quittais brutalement.
Avec toi, une partie...