La lecture à portée de main
Vous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage
Découvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement
Je m'inscrisDécouvre YouScribe en t'inscrivant gratuitement
Je m'inscrisVous pourrez modifier la taille du texte de cet ouvrage
Description
Sujets
Informations
Publié par | Edilivre |
Date de parution | 13 novembre 2013 |
Nombre de lectures | 0 |
EAN13 | 9782332627636 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
Couverture
Copyright
Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
ISBN numérique : 978-2-332-62761-2
© Edilivre, 2014
Citation
Je ne peux pas prétendre être un bon écrivain
Ou comme Baudelaire aimer autant le vin,
Mais être spontané ne sera jamais vain
Pour nos pierres de cœurs et leurs sombres ravins
Remerciements
Merci à ma famille et à mes amis ainsi qu’à Quoc Khanh Mai pour sa belle aquarelle.
Accolades du crépuscule
Je remercie la nuit faisant place aux merveilles
Combattant les ennuis, les ratés de la veille
Où le jour sans répit torturait les esprits
D’une mer à soucis et remplie de mépris
Car un rêve nous berce en un lieu magnifique
Qui se lie à nos lits par le biais du sommeil
La lune se dresse en un ciel maléfique
Où se lit la lueur lassante du soleil
Cherchons le doux repos pour nos âmes sans vie
Car ce monde nouveau se rit de nos avis
Et palissons les fleurs aux pétales ravis
De pouvoir respirer quand le temps se dévie
Vers de très jolies heures aux armoires bâties
Des moments espérés, des instants bien lotis
Acharnement
Combien sont les chanceux vivants en ce bas monde
N’ayant jamais subi le triste acharnement
D’une quelque misère en cette vie immonde
Et d’un bain de colère ou d’un acte dément
Car cet acharnement peut nous pousser à bout
Comme il le fait souvent dans ce lieu si tabou
Et la tranquillité que nous chérissons tous
Peut se remplir de haine, une grippe qui tousse
Cette insulte vulgaire ou ce brin de violence
Le début d’une guerre ou le fer d’une lance
Ce vil acharnement, la vague de folie
Mène directement à la tombe ou se lit
Un regard très albâtre, un mot d’épuisement
Se voulant combattre aussi fort qu’ardemment
Ailleurs
C’est en regardant ces petits rochers
Perdus dans la mer d’eau claire et iodée
Que mon simple cœur tend à s’éroder
D’être parti loin de mes grands clochers
Car cela est vrai, ces beaux paysages
La douceur du vent graciant mon visage
Un soleil d’automne au rayon sauvage
M’éclaire l’esprit en ce miel rivage
Mais, rien ne pourrait valoir son chez soit
Ce lieu signifiant paix et nostalgie,
Bercé par un lit et des draps de soie
Où règnent les nuits, rêves et magies
Où survit le jour, la joie ou l’envie
De ne point quitter sa petite vie
À l’épreuve du temps
Quand dans cet horizon nous voyons le meilleur
Le temps n’a pas raison, la logique est ailleurs
Autant d’amour pour toi mon cœur en déborde
Quand les jours et les mois, les années les abordent
Alors chaque minute évoque la seconde
L’instant passant trop vite empli d’un doux bonheur
Le printemps se succède, à même, que les heures
Peuvent se défiler pour le...