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Description
« Chaque âme est une empreinte dont le langage prolifère une scissiparité de malentendus chaotiquement ordonnés, un tourbillon qui taraude notre existence depuis la nuit des temps. Optons-nous pour le silence afin d'étrangler les confusions abusées qui s’acharnent au diaphragme ? Moi je préfère le dialecte aphasique des pivoines orgueilleuses. Et si j’étais une pivoine ? »
Sujets
Informations
Publié par | Edilivre |
Date de parution | 17 février 2014 |
Nombre de lectures | 0 |
EAN13 | 9782332654854 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
Couverture
Copyright
Cet ouvrage a été composé par Edilivre
175, boulevard Anatole France – 93200 Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
ISBN numérique : 978-2-332-65483-0
© Edilivre, 2014
Une lumière sait franchir ton iris
Exténuée par la sérénade de la soirée, j’ai pénétré le Bistro Méduses Bleues. Désormais nulle servitude n’empêchera mes yeux de croiser les tiens tant un soleil n’éclaire que les passionnés.
– Une absinthe ?
– Tu sais si bien qu’elle m’achèvera…
– Un romanée ?
– Le rouge me fait peur.
A dessein d’ensorceler mes appas, me sers-tu une effervescente liqueur turquoise nitrosée ; rien que pour éviter une abrupte turista. Oui, ce n’est guère un mirage ! Ton myocarde qui ne se fatigue. Je n’ai pas d’autres desiderata, Nature que je suis redevable, la consolation que ton ombre me prodigue tant qu’il résonne sur terre, néanmoins je ne sois touchée par ta lumière qu’à peine. Ci-gît ma poupée de naguère.
Plus d’orgueil partant plus de balles
Un matin voluptueux qui refuse révéler son énigme accorde un sort favorable au petit enfant dans les bois dans l’intention de lui tolérer quelques bouts de temps… Gracieux Matin, que ta lumière l’assiste ressembler les petites framboises tombées de son gibier la veille.
Parbleu, histoire de son regard désabusé à voir même son cœur qui se suicide. J’entends ses soupires, son âme qui se déchire. La paranoïa guette ; c’est ton regard qui transpire.
Charade… charade… charade, elle est jamais digne, qui vous a dit qu’un chorizo lui fera oublier le délicieux goût d’un bretzel ? Mille pardons Sire, détrompez-vous ! Non plus une cigarette verte diaphane pardi !
Quant à moi j’étais bien contente de la robe pastel que tu m’avais offerte bien avant que je découvre qu’elle est déchirée dans le dos… tant plus d’orgueil partant plus de balles.
La femme que je suis
En faveur du cosmos idyllique dans lequel je fais...