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Publié par | motorevue |
Publié le | 20 septembre 2012 |
Nombre de lectures | 11 |
Langue | Français |
Extrait
Le 23 octobre 2011, en Malaisie, Marco Simoncelli perdait la vie au départ d'un Grand Prix dont l'arrivée ne sera jamais célébrée. Onze mois plus tard, le vide laissé par le pilote italien demeure abyssal. Pilote flamboyant et personnalité attachante, Super Sic manque à tous ceux qui l'ont connu, mais aussi à tous ceux qu'il faisait rêver.
Et à Misano, sur le circuit qui porte désormais son nom, tout près de son village de Coriano, ils étaient nombreux pour lui rendre un nouvel hommage. Avant la première journée d'essais du Grand Prix de Saint-Marin, ce sont les pilotes qui se sont retrouvés en piste, à vélo, pour célébrer la mémoire de Marco. Ils en ont aussi profité pour rendre hommage à Shoya Tomizawa qui, deux ans plus tôt, avait perdu la vie sur le tracé italien. « Marco était l'une des stars de ce championnat, a rappelé Jorge Lorenzo. C'était un très bon pilote, charismatique, qui déplaçait la foule et qui comptait de nombreux fans. Il le méritait. Avec Tomizawa, nous avions aussi perdu un grand pilote en 2010. Nous gardons tous des souvenirs de ces deux gars. Nous ne les oublierons jamais. » Durant le week-end de Misano, Paolo et Rossella Simoncelli ont tenu eux aussi à participer aux hommages rendus à ce fils en mémoire duquel ils ont créé une fondation destinée à réunir des fonds pour différentes actions caritatives. Les parents de Marco ont également présenté l'autobiographie officielle de Marco, Il nostro Sic, dont les revenus de la vente iront bien évidemment à leur fondation.