I. II. III. IV. V. VI. VII. VIII. IX. X. XI. XII. XIII. XIV. XV. À un pied-plat qui faisait courir de faux bruits contre moi. XVI. XVII. Contre un voleur médisant. XVIII. XIX. Pour Madame d’Ussé, étant à la chasse. XX. Pour la même, étant à la représentation de l’opéra d’Alcide. XXI. Sur la même, qui s’occupait à filer. XXII. À la même. XXIII. XXIV. XXV. XXVI. XXVII. XXVIII. Sur une ode composé par un misérable poète satirique à la louange de M. de Catinat. XXIX. Sur le dialogue de Platon, intitulé le Banquet. XXX.
Livre Second
I. II. me III. Sur Mla duchesse de Bourgogne. IV. V. VI. VII. Pour une dame nouvellement mariée. VIII. IX. X. XI. XII. XIII. XIV. XV. XVI. XVII. À un critique moderne. XVIII. XIX. XX. XXI. XXII. XXIII. XXIV. XXV. XXVI.
XXVII. XXVIII. XXIX. Aux journalistes de Trévoux. XXX. Aux mêmes. XXXI. Sur les tragédies du sieur ***.
Livre Troisième
I. II. À M. le duc de Bourgogne. III. À Madame d’Ussé. Les deux dons. IV. Les souhaits. V. À M. Bouillé. VI. À l’abbé de Chaulieu. VII. Contre Montfort. VIII. Contre un marguillier. IX. Contre Longepierre. X. Contre le même. XI. Sur l’aventure de l’évêque de Nimes, qui s’était sauvé par la fenêtre pour échapper à ses créanciers. XII. XIII. XIV. XV. Conte du Pogge. XVI. À Pradon, qui avait fait une satire plain d’invectives contre Despréaux. XVII. XVIII. XIX. Sur les fables de La Motte. XX. Sur le même sujet. XXI. XXII. XXIII. XXIV. XXV. XXVI. À M. le comte d’Œttinguer. XXVII. À M. T.... XXVIII. XXIX. XXX. Justification de la précédente épigramme, à un important de cour qui s’en faisait l’application.