Tessa sait qu’elle va mourir. Sa leucémie n’a pas pu être enrayée malgré plusieurs années de traitement. Elle n’a encore rien connu de la vie, en tout cas elle le croit. De rage, elle va dresser une liste des choses qu’elle veut absolument faire avant de mourir. Même les choses les plus extravagantes. Et tout finira par se réaliser, car elle dispose d’une furieuse envie de vivre. La force du récit se joue de tous les pièges : ni mièvrerie, ni condescendance, ni larmoyance (un mot qui a tort de ne pas exister). Tout semble si vrai, jusqu’à utiliser les pouvoirs mystérieux de la syntaxe pour peindre les derniers instants…